Remontons la ligne du temps… Nous sommes dans les années 1830-1840 à Vienne, alors capitale du monde occidental. Cafés, brasseries et kiosques à musique fleurissent dans la ville pour le plus grand bonheur de ses habitants dont la tête s’est mise à tourner au rythme tout neuf de la valse. Johann Strauss, le « roi de la valse », fait danser les viennois avec frénésie. Son fils prendra bientôt sa relève et la valse partira à la conquête du monde. En clin d’œil à la tradition du concert du Nouvel An à Vienne, l’o.n.l. propose à la veille des vacances de Noël une version lilloise avec au programme, valses, polkas et galops échevelés. En clôture de ce concert festif, l’ouverture d’Orphée aux enfers d’Offenbach, le tout dirigé par Wolfgang Doerner, un viennois, évidemment !